Je dédie ce billet à Ysa, à Jules et à toute leur famille et à bien d’autres…
Comme aujourd’hui, mais en 1971
Ilétait une fois un papa qui en se rasant le matin fut surpris par une chanson qu’il venait d’entendre à la radio….
Il appela sa chère et tendre épouse pour lui faire part de la découverte et quelques jours plus tard toute la famille se réunissait autour d’un vieux Tepaz pour écouter une belle voix qui nous racontait l’Italie, sa terre rouge orange, l’amitié, les hommes … Et puis des sons se mêlaient aux chansons,celui d’un réveil,des bruits de la rue, ceux d’un train et aussi des chœurs, ceux de la Chapelle Sixtine !
Rien à voir avec Aznavour, Barbara… Tout simplement différent….
Et il l’est, différent ce jeune homme brun et tout barbu avec un sourire et des yeux qui vous enveloppent de toute leur tendresse….
Comme si on le connaissait depuis toujours, une présence rassurante qui parle du quotidien avec une force et un enthousiasme à faire pâlir n’importe quel optimiste de haut niveau !
Une envie après ses premières apparitions télévisuelles de l’inviter chez vous … Parce qu’il est comme nous, un peu…
Il faudra remercier Claude Dejacques le découvreur de Barbara, Moustaki quiviendra le voir après sa prestation à la Rose d’or d’Antibes en 1970…
Herbert chanteur, oui mais avant en Italie le traducteur des chansons de Brel, Barbara, Mouloudji, Piaf, Ferré….
Déjà un nom, là-bas en Lombardie.
Et en 1971 ce sera Le concerto pour Venise, disque magique que toute notre famille venait de découvrir…. Et cette année là, Aragon le saluera …
Ce que nous apprendrons de lui, c’est qu’il à tout juste 27 ans, qu’il est né en Lybie, que ses parents sont Hispano berbères comme l’on dit, Juif Italien et qu’il deviendra par le divorce de ses parents lorsqu’il avait à peine deux ans, un migrant…. L’Italie, la Suisse, l’Allemagne, la France….
S’en suivront un deuxième album Mégalopolis, une fresque fantastique et écologiste bien en avance puisque nous ne sommes qu’en 1972….
Et puis Les années de la rage et de l’amour, ou il nous parle de l’Amitié, encore, des enfants, des gens heureux… D’une enfance qu’il n’a pas vécue et qu’il idéalise au travers de ses chansons.
Le Concerto pour pieds nus et orchestre que j’ai écouté en boucle des soirées entières….
Et puis son engagement, au milieu de ce bonheur presque tactile, avec l’Etoile d’or sur les retrouvailles d’un homme et de sa famille, sa terre….
Un engagement sans faille, et deux ans après la Guerre des Six jours, il partira avec sa mère à Jérusalem et il dira de ce voyage :
« Devant le mur, j’ai pleuré comme un gosse. Je sentais physiquement toute l’histoire juive s’incarner à la première personne.
Je connaissais ce mur, je l’avais déjà vu. J’avais l’impression d’avoir souffert pendant deux mille ans et de toucher terre enfin ».
Il décide alors qu’il émigrera un jour en Israël …Et la guerre du Kippour en octobre 1973 ne fera que renforcer ce choix.
Il sera le seul sioniste à être invité aux galas organisés par le Parti communiste français où son Etoile d’or, une chanson sans haine, sera chantée dans un silence total de la foule… Qui se débarrasse ainsi d’une mauvaise conscience quand à la politique officielle du Parti concernant la politique au Moyen orient. Et Herbert termine en remerciant les organisateurs de lui avoir permis de s’exprimer librement, montrant ainsi que le PC est un parti démocratique…
Le 24 novembre 1975 sur Europe 1, Herbert Pagani rédigera son fameux Plaidoyer pour ma Terre, qui lui vaudra un abondant courrier des auditeurs et la station rediffusera l’émission.
Ensuite c’est dans le Grand Echiquier de Jacques Chancel en 1976, et je fais partie des heureux téléspectateurs qui ont vu en direct l’émission, qu’Herbert lira à nouveau Son texte….
Il n’y aura qu’un seul passage de ce texte… Les médias de l’époque sont frileux…
Si vous pouviez prendre le temps, cinq petites minutes seulement pour écouter et voir…. Pour vous dire que les mêmes mots aujourd’hui pourraient être prononcés, que l’histoire n’a pas changé et que l’attente de la paix des deux côtés est intenable.
Herbert Avraham Haggiag Pagani né le 25 avril 1944 à Tripoli en Lybie est décédé le 16 Aout 1988 d’une leucémie foudroyante.
Je ne veux pas l’oublier…
Mardi, pour mettre en lumière la chanson l’Etoile d’Or, un diaporama des plus jolies photos d’Ysa qui habite à Tel-Aviv. Et puis aussi quelques dessins et peintures d’Herbert, parce qu’il avait tous les talents….
Je vous engage si vous le désirez le connaître mieux de visiter un site qui m’à été bien utile pour vous parler de lui aujourd’hui.
Il est parti à 44 ans, et je n’aurais jamais pensé que mon père 6 années plus tard s’en irait lui aussi et au même âge….
Alors à mardi…
Laisser aller, laisser faire les choses…. Laisser faire le temps…
Et puis se laisser aller, pourquoi pas !
Ne plus faire attention, ne plus prêter Attention aux regards des autres, au regard de l’autre.
Se dire que la nature à tous les droits et la laisser gouverner et perdre la face.
Devenir enfin libre mais de quoi ?
Gouter au plaisir de n’être bien qu’avec soi….
Je suis réaliste, et je ne parlerai pas de beauté puisque l’on dit qu’elle est subjective et au travers des siècles les modes ont fait un drôle de travail et un très mauvais travail.
La morphologie d’un visage ou d’un corps ne se changera pas et la génétique et heureusement là pour faire de chacun de nous un être différent et unique…
Et puis dans une vie, la maladie, les chocs émotionnels, la prise de certains médicaments fait que bien sur la ressemblance avec nous même peut s’éloigner… Mais le courage de femmes et d’hommes pris dans la tourmente de la maladie devrait justement aider ceux qui ont la chance de réchapper à tous ces mauvais tours que nous jouent bien souvent la vie….
Une amie proche victime comme l’on dit, d’un cancer du sein et d’un lymphome n’a jamais baissé les bras….
Une chimio et des rayons tous les jours et pourtant un visage lumineux, un maquillage et de jolis foulards sur ses cheveux… Juste changé de style et pourtant le soir lorsqu’elle se déshabillait, elle me racontait qu’elle s’effondrait de ne plus être ELLE, mais une autre… Et elle avait si peur mais ne montrait rien, jamais…
Et aujourd’hui, c’est elle au téléphone qui me réconforte, quand je suis dans un état mélancolique (c’est plus jolie que magnaco-dé pressive, non) !
Parce que bien des fois, quand on a plus envie de rien on se laisse aller…
Je veux être claire, je ne parlerai pas de beauté, pas de ces mauvaises étapes de la vie qui font que….
Juste dire que je ne juge pas, que je constate et surtout que je réfléchie….
C’est la première fois que je parle des peoples, un mot à la mode et pourtant qui ne veux rien dire !
Nous sommes toutes et tous des gens et je préfère dire personnages publics…
Parce qu’il y quelques semaines les hasards du net m’on fait découvrir la photo d’une actrice que j’ai suivi pendant de longues années et qui s’étonne que l’on ne lui confie plus de rôle !
Elle a du vous faire rire autant que moi, et aussi pleurer dans le grand chemin avec Richard Borhinger, je veux parler d’Anémone .
Elle est née en Aout 1950 et Marlène Jobert en Novembre 1943.
Je vous entends déjà dire que la première veut rester naturelle et que la seconde à du avoir déjà recours à la chirurgie esthétique, et alors !
Autour de moi des gens nés en 1950 et qui ne ressemblent pas du tout à la première et sans lifting !
Que l’on soit actrice ou femme connue et reconnue par sa famille et ses amis, le combat est le même….
Le bio d’accord mais il a ses limites et un petit coup de pouce à la nature, ou tout simplement un rendez-vous chez le coiffeur ne me semble pas être quelque chose d’insurmontable !
La belle BB à comme Anémone, choisi son camp mais Jane Fonda qui à presque le même âge en a choisi un autre et c’est tant mieux !
Je me souviens d’Elmut Berger et son rôle magnifique dans le film de Visconti…. Il en a fait rêver plus d’un… Là aussi le naturel a repris ses droits et je ne l’avais même pas reconnu !
Le laisser aller, il n’y en pas chez N Baye, Fanny Ardant….
Etienne Daho et Jean-Luc Anglade, 55 ans !
Et Julien Clerc 63……
Je ne me sens pas prête à user de Botox ou autre, parce que je n’en ai pas besoin ! Ma grande chance est d’avoir toujours été allergique au soleil et de ne pas fumer….
Mais qui sait pour mes 60 ou 65 ans, j’irais peut-être voir mon dermatologue et je me ferais picorer le front moi aussi !
Il n’y a pas de mal à se faire du bien après tout, je ne veux toujours pas juger ceux qui passeront par le bistouri ni ceux qui bien dans leur peau le rejetteront !
Chacun est libre, mais finalement prendre soin de sa peau, changer la couleur de ses cheveux ou faire de la gym pour muscler son corps, c’est un peu pareil non ?
Juste ne pas se laisser aller…..
Et je lui fais une déclaration, ma déclaration et comme il me connaît bien je sais d’avance qu’il ne s’en offusquera pas !
Et puis nous sommes un peu comme un vieux couple lui et moi, nous nous connaissons depuis un certain temps…
Peut-être d’ailleurs sera-t-il surpris, car c’est un grand timide enfin avec moi… Parce qu’avec certaines autres, il ne se prive de faire remarquer qu’il existe, qu’il est là, et bien là !
J’ai cette petite chance, qu’il ne soit pas trop présent, trop collant…
Je préfère la distance, seulement s’apercevoir qu’il est là, mais de temps en temps…
Et puis je n’ai pas trop le choix non plus alors je m’habitue, le caresse dans le sens du poil, je ne voudrai pas l’énerver !
Le matin, il est déjà là avec moi et il ne rate jamais un rendez-vous….
Si je l’ignore, il lance un petit rappel pour ne pas qu’on l’oublie !
Mais je suis fidèle et il le sait, alors il en profite bien…
Il aimerait bien me suivre partout, mais j’aime bien m’amuser à lui faire faux bond !
Etre là quand il ne s’y attend pas…. C’est mon petit plaisir à moi.
Il se montre un peu lourd quelques fois, alors j’essaie de le contrer, de lui faire voir que je suis la plus forte et qu’il ne m’aura pas comme ça !
On forme une bonne équipe tous les deux…. J’aime quand il m’accompagne dans mes ballades ou lorsque je coure… C’est mon coach finalement, c’est lui qui me dit de faire attention, de ne pas en faire trop…
Et j’aime bien que l’on s’occupe de moi de cette façon… Il me coucoune et j’adore ça et on se sent alors moins seule…
Dans un mois, je vais le rencontrer à nouveau et bien que cela me fasse peur, j’attends ces retrouvailles avec impatience…
Notre première rencontre à l’automne, et toutes les autres à la même échéance… C’est rare un amour qui dure et qui sait se faire attendre et celui là, il est à moi et rien qu’à moi !
Je ne suis pourtant pas égoïste, mais je ne prête pas et puis à vous de trouver le votre, celui avec qui vous serez heureuse et bien…
Comme Faust avec le diable, je pourrais faire des petits arrangements mais je n’en éprouve pas encore le besoin, trop tôt…
Grâce à lui, je vogue aujourd’hui dans des eaux plus sereines et j’essaie de moins me poser de questions !
De toute façon, il n’aime pas ça et pense que c’est une perte de temps…
Ha, le temps ce mot qui fait si peur et qui devrait pourtant être un ami, un confident, celui avec qui l’on devrait toujours allez dans la même direction, presque une âme sœur…. Si précieux, qu’il ne faut surtout pas le perdre, le laisser dériver seul mais l’accompagner, toujours…
Celui que j’aime va passer un cap, celui d’un chiffre et pas n’importe lequel puisqu’il est le seul nombre premier à finir par lui-même !
Il symbolise à la fois l’homme et l’univers … Celui de l’union, de l’harmonie…
L’étoile, la fleur, en Chine, en Inde il est présent partout !
Dans le bouddhisme Japonais, il est la perfection intégrée… J’ai beaucoup de chance qu’il soit rempli de tant de qualité…
Et en Amérique centrale il est sacré…
Alors je le crie haut et fort pour qu’il m’entende, et je sais qu’il me regarde, qu’il aime peut-être me lire, qui sait !
Je veux simplement qu’il m’écoute… Pour lui dire que j’ai moins peur, que je lui laisse son libre arbitre, et je lui demande seulement de continuer à m’aimer comme il le fait, à notre rythme à tous les deux….
Le chemin reste chaotique et difficile, nous le savons lui et moi depuis toujours… Mais rien n’est plus beau que de rester libre mais ensemble, encore et encore et encore…..
Les années 70 si chères à mon cœur et pendant ces années là notre vie à ma mère et à moi avait basculé…
Quelques mois avant sa mort, mon père faisait l’acquisition d’une voiture et maman décida de la garder, de la faire voyager avec un ami de Paris jusqu’à sa destination finale, notre petite ville du sud-ouest.
Ma mère ne savait pas conduire et cette belle automobile presque neuve, moins de 1200 kms, devenait pour moi un but à atteindre, une gageure et je faisais preuve d’une motivation sans limite qui me permit de réussir du premier coup l’épreuve du code de la route…..
Pour la conduite, ce fut tout autre chose !
J’étais douée, mais oui…. Je n’avais pas peur, j’étais bien et très à l’aise et mon moniteur un type adorable…. Brun, les cheveux longs, c’était la mode à l’époque, un style à la Julien Clerc et j’adorais Julien Clerc…
J’aurais aimé que mes leçons ne finissent jamais !
J’avais commencé en janvier, en mars je passais mon code et la première semaine de juillet devait être mon examen final, celui ou fière je serais allée chercher la voiture de papa dans le garage que nous louions près de notre maison.
Mais voilà, à cette époque un bruit courait…. On ne donnait jamais son permis de conduire à un jeune avant les vacances !
Le matin j’étais parti sans prendre mon petit déjeuner et c’est avec une très grosse boule dans le ventre que j’arrivais sur la grande place de la ville pour passer la fameuse épreuve…
Mon beau moniteur, tout sourire était là avec d’autres candidats et je voyais bien dans ses yeux toute son assurance… Il était persuadé que j’allais réussir du premier coup !
Très émue, je montais dans la voiture. L’inspecteur, un ancien colonel de l’armée ne me regardait même pas, le nez baissé sur une pile de papiers posée sur ses genoux….
Juste un bonjour mademoiselle et un allez-y !
J’avalais ma salive et en bonne élève appliquée, je vérifiais mon rétroviseur, ajustait ma ceinture de sécurité, tournait la clé et surtout appuyait comme une malade sur les pédales !
La voiture faisait un bruit d’enfer mais n’avançait toujours pas …
Mon voisin cria STOP tellement fort qu’il me fit peur et que je n’osais le regarder, ni lâcher le volant…
Il se retourna vers le moniteur et lança un votre élève démarre toujours avec le frein à main !
Et à ce moment là, tous s’est passé très vite et je n’ai même pas eu le temps de poser ma main sur l’objet de ma détresse !
C’est fini, vous pouvez descendre…. Dehors, les autres candidats qui n’avaient rien compris de ce qui s’était passé dans la voiture faisaient des yeux grands comme des soucoupes et moi très vexée et les larmes aux yeux je sortais de la voiture sous le regard pour la première fois très méchant de mon gentil professeur…
Rater l’épreuve du permis de conduire sans avoir conduit, ce n’était pas banal quand j’y repense !
Je ne vous raconterais pas notre déception à tous les deux…. L’agence fermait en aout et pas beaucoup de temps pour prendre d’autres leçons !
D’un autre côté, je Savais conduire et rendez-vous fut pris pour le premier lundi de septembre…
Et l’automne arriva enfin avec une nouvelle convocation pour la première semaine d’octobre…
La veille, un dimanche j’étais sortie faire une grande ballade au bord de la rivière et j’étais persuadée que cette fois ci j’y arriverai !
Le matin je m’étais levée en pleine forme, plus de grosses ou petites boules dans le ventre, mais avec une assurance que je ne me connaissais pas !
Maman depuis une semaine résidait chez ma grand-mère et mes oncles à une trentaine de kilomètres de la maison et je m’étais juré d’aller les retrouver ce jour là avec la voiture !
Je me souviens encore d’avoir pris le bus pour arriver jusqu’au grand garage Renauld et là je me rendis directement à mon boxe, je montais dans la voiture, et ma ceinture de sécurité mise et le frein à main desserré, je démarrais tranquillement et tout doucement je me rendis à mon lieu de rendez-vous…
Mes mains étaient moites et j’avais mal, parce que j’avais séré le volant un peu trop fort !
Je venais de conduire toute seule pour la première fois, deux kilomètres !
Je me garais sur la fameuse place et quand je suis sortie de Ma voiture, je me suis avancée tranquillement, bien droite avec ma belle robe verte bien courte et c’est tout sourire que je lançais un bonjour à mon cher moniteur…
Celui-ci et certains autres candidats me fixaient sans parler….
Ce cher colonel, et oui j’héritais du même inspecteur, se retourna et ne s’aperçut de rien.
Et puis tout se passa très vite, j’étais dans un état second comme si j’étais quelqu’un d’autre…. Une jeune femme très sûre d’elle pour une fois….
Et ce jour là, j’ai roulé en ville, fit deux créneaux, pris les petites rues de la cité médiévale et de la vitesse sur la nationale… J’avais des ailes, j’étais bien et je ne me reconnaissais pas !
Arrivée à bon port au bout d’une demie heure cette fois ci, c’est en me regardant et me souriant que mon inspecteur me tendis le petit papier rose tant convoité…. Et que j’irais dans les jours qui ont suivi échanger à la préfecture pour la petite carte rose !
Mon moniteur me fit la leçon et en même temps était assez fier de son élève…
Je retournais à la voiture et sorti du coffre mon petit 90, tout rond, tout neuf et tout beau que je collais sous le coffre à l’arrière. A midi, les mains rivées sur le volant et ne dépassant pas la vitesse autorisée, j’arrivais chez ma grand-mère et le Gaillac perlé et les petits biscuits roses de Reins avaient ce jour là le goût de la liberté…
Ma famille n’avait pas douté et moi non plus !
De l’audace, j’en ai eu ce jour là et à revendre et je reste persuadée que c’est mon père quelque part qui m’à insufflé sa force….
Et vous, des souvenirs particuliers attachés à votre examen du permis de conduire ?
Prenez le temps, écouter et regarder car notre mère la terre est ce qu’il y à de plus précieux…
Aujourd’hui c’est le Blog Action Day
Un petit logo bleu que vous allez trouver un peu partout, sur des millions de blogs qui se rassemblent ce jour sur un même thème….
Participer à sa façon, comme on le sent…
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