Eclairage

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Je veux dédier ce poème à toutes les femmes qu’on aime

pendant quelques instants secrets.

A celle qu’on connait à peine, qu’un destin différent entraîne

et qu’on ne retrouve jamais.

A celle qu’on voit apparaître, une seconde à sa fenêtre et qui preste, s’évanouit…

Mais dont la svelte silhouette est si gracieuse et fluette qu’on en demeure épanoui.

A la compagne de voyage dont les yeux charmant paysage, font paraître court le chemin…

Qu’on est seul, peut-être à comprendre, et qu’on laisse pourtant descendre sans avoir effleuré sa main.

A la fine et souple valseuse  qui vous sembla triste et nerveuse  par une nuit de carnaval…

Qui voulu rester inconnue et qui n’est jamais revenue tournoyer dans un autre bal.

A celles qui sont déjà prises et qui, vivant des heures grises, près d’un être trop différent, vous ont, inutile folie , laissé voir la mélancolie d’un avenir désespérant.

Chères images aperçues , espérances d’un jour déçues, vous serez dans l’oublie demain…

Pour peu que le bonheur survienne, il est rare qu’on se souvienne des épisodes du chemin.

Mais si l’on a manqué sa vie, on songe avec un peu d’envie à tous ces bonheurs entrevus.

Aux baisers qu’on n’osa pas prendre, aux coeurs qui doivent vous attendre, aux yeux qu’on n’a jamais revus.

Alors, aux soirs de lassitude, tout en peuplant sa solitude des fantômes du souvenir…

On pleure les lèvres absentes de toutes ces belles passantes que l’on n’a pas su  retenir…

Mise en lumière des intérieurs et des objets pour Carl Holsoe, ce peintre  qui fut l’une des figures de l’Ecole Danoise dans la seconde moitié du 19e siècle et du début  20e.

Il rejoint la Royale Académie de Copenhague de 1882 à 1884, puis L’Ecole de Peder Severin Kroyer.

Avec ses amis Hammershoi et Peter Llsted, il étudie l’ombre, pas celle de Jung, notre autre moi, le terrible, mais celle qui magnifie la lumière !

*

Et voilà, mes rêves se retrouvent toujours aux mêmes endroits,  dans les mêmes paysages, ceux du  nord de l’Europe…

J’avais déjà parlé de Carl Larson en décembre dernier et de Grieg, le musicien, des “gens du nord” !

Je suis un drôle de papillon, qui se sent plus à l’aise dans la simplicité que le clinquant des lueurs de l’été…

*

En 1889, à l’Expostion universelle de  Paris, notre homme recevra une Mention honorable et trois années plus tard à Munich, d’autres honneurs pour son exposition qui prendra fin seulement en 1918.

Son influence, surement les Maître Hollandais du 17e siècle, comme Wermer…

Petit portrait de Carl


La femme est l’acteur principal de ses tableaux et souvent elle se cache derrière une fenêtre pour écrire, travailler sur un ouvrage, lire…

Elle semble attendre le retour de quelqu’un, de quelque chose qui va peut-être changer sa vie…

C’est seulement hier soir, en feuilletant les tableaux, que j’ai eu une envie !

Le besoin d’entendre la chanson de Brassens, Les Passantes, un texte qui m’émeut à chaque écoute.

*

Ces mots là-haut entre les images , sont ceux qu’à écrit Antoine Pol, auteur méconnue de cette poésie dont le chanteur est tombé amoureux !

Je mets  ici le LIEN où vous apprendrez comment Brassens à découvert ce texte, pourquoi il n’a  pu hélas rencontré son auteur et aussi vous verrez qu’une strophe manque dans la chanson !

Et puis je me suis souvenue, cette fin d’après-midi d’octobre 81 à Paris…

La radio, un texte bref, Brassens nous a quitté.

Maman et moi nous sommes assises sur le canapé sans nous parler, tellement surprise, sous le choc et nous avons pleuré…

Puis j’ai regardé le calendrier, sans le vouloir, sans le savoir je venais de m’apercevoir que cela faisait 29 ans qu’il était parti…

Un 29 octobre, demain…

*

J’aime bien lorsque la pensée s’évapore, crée des liens.

Un peintre, une lumière intérieure qui ressemble à l’automne, une femme à sa fenêtre, et l’âme vagabonde !

D’une images à une chanson, à de la poésie , il n’y a qu’un petit pas…

*

J’ai retrouvé un autre souvenir !

Celui d’une émission de télévision, le Grand Echiquier de Jacques Chancel.

L’invité ce jour là, Lino Ventura  qui va demander à Brassens de lui chanter Les Passantes et ce n’était pas prévue du tout !

Vous reconnaîtrez peut-être Maxime Le forestier, le barbu et derrière tout ce petit monde, Joël Favreau le génial auteur compositeur, qui à aussi accompagné Duteil et Le forestier…

Ce dernier à repris cette chanson à la perfection !

L’enregistrement n’est pas de bonne qualité, mais la chaleur et le talent sont réunis et c’est ce qui compte n’est ce pas ?




Ex-position, suite

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Dans l’ombre et la lumière


*

Pratiquer la magie, c’est tisser les forces invisibles et leur donner une forme.

C’est nous élancer tellement haut dans le ciel qu’on ne nous voit plus.

C’est explorer le mystérieux royaume onirique de la  réalité cachée…

Starhawk


Sans fatigue et sans peur,  avoir le pouvoir de glisser sur l’eau, de voguer d’un continent à un autre, de voler pour mieux apprécier les parfums, de respirer les couleurs…

*

Vivre c’est voir, et qu’importe si ce sont  vos yeux  ou votre coeur qui vous transportent vers un réel imaginaire !

Je suis une rêveuse, une contemplative, une qui prends sont temps pour observer, comprendre…

*

Alchimie des rayons du soleil !

Osez se montrer nu, sans artifice dans une nature plutôt sage…

Le pari d’un petit village du Morbihan, La Gacilly, qui depuis l’été 2005 offre à tous ses passagers, ses passeurs par là, un Festival de photographies qui sont exposées dans leur plus simple appareil sur des murs en pierre, dans des jardins ou des sentiers oubliés…

La photo c’est magique, c’est divin, c’est une pluie de poussière d’étoiles, un émerveillement à la portée de tous les sentiments…

Un regard, mais une certitude, celle des réponses que nous ne pourront jamais lui apporter…

Incantations, demander aux dieux là-haut un peu de pluie…

Jeux maléfiques ?

” Entre terre et eaux, les Sentinelles du Morbihan”

Stanislas Fautré


De la couleur, du vert comme les ailes des Elfes…

Pic de curiosité à son apogée !

S’approcher silencieusement, ne plus bouger…

Suspendre son souffle, se cacher.

Ils sont là, m’ont attendu, c’est déjà le soir là-bas, loin…

Repus et confiants, attentifs au moindre bruit…

Les murs ont des oreilles !

Puisque la pierre est vivante, elle donne naissance à ceux qui croient en elle !

Jungle Bretonne, mais où se porte le regard de ces deux là ?

Un philtre magique à nourrit le lierre qui laisse échapper de sa prison toute les forces de la nature !

Je sais maintenant…

Leurs yeux sont sous le charme

d’Elle…

Pourtant Elle n’est pas Elfe, où sont passées ses Ailes ?

Je suis jalouse !

Mais de ces trois belles Alcines, pas du tout !

Je ne pourrais jamais rivaliser avec tant de grâce et de beauté…

Attitude très féminine, se cacher parmi les fleurs !

Et voilà, deux qui draguent les toutes belles …


Mon préféré, mon magicien à moi, ma force tranquille…

Un géant prestigieux, mon Roi Lear  pour quelques semaines seulement !

Fantasmagorique cette exposition !

Ce pays m’a lancé un sortilège et m’a offert un flacon de potion magique au doux parfum d’embruns et de chlorophylle dont on ne se sépare pas aisément…

J’aime la gravure dans ma mémoire, cette empreinte indélébile, ce petit tatouage posé sur un coin de mon cerveau !

Je crois que cela s’appelle le souvenir, c’est ça n’est ce pas ?

Voicile lien de ce magnifique voyage , courrez y vite, le bonheur est dans la nature, c’est vrai !

Les envouteurs de ces belles images se trouvent là-bas…

Vous y découvrirez  des artistes, des poètes, des envies de voyage et si vous cliquez, si vous êtes curieux,  vous allez faire de belles rencontres, dans le “off” par exemple…

En mars 2009,  je vous expliquais le pourquoi du titre de ce blog !

Une femme peut en cacher une autre, je suis un oiseau-elfe…

Et j’ai trouvé mon maître !

Je veux dire un artiste et voilà comment il se définit…

*

” Le Magicien d’Oz, Cottingley, la Belle et la Bête, Alice, le Testament d’Orphée, Guiwenneth de la Forêt des Mytathagos, … ont à tout jamais marqué mon existence, mon attrait pour l’autre côté du miroir.

Des reflets du noir au merveilleux , la palette est de taille et du haut de mon demi siècle d’existence, je débroussaille et forge un quotidien au fil de mes rêveries.

Ma passion : la femme nature… m’égarer dans cet autre côté pour partir à la capture d’âmes  “fabuleuses”, de ce que nous ne pouvons jamais arriver à saisir.

*

Clé d’une serrure imaginaire, l’appareil photographique est un médium intemporel où des créatures surgissent de nos obscurités, de nos recoins, de nos abîmes, telles des déesses chimériques.

La nature prend une dimension nouvelle, où elle défit l’équilibre pour faire découvrir une féminité idéalisée, un “être primordial” né des songes , des rêves d’enfants, des fantasmes que le temps sème…

Si mes photographies attirent votre attention, embarquez !

*

Et bien j’ai embarqué, j’ai suivi, j’ai aimé, j’ai été surprise, envoutée…

Véritable coup de coeur pour le photographe Gilles Courat, dont voici le lien pour aller visiter sa merveilleuse galerie !

 

Un homme qui me ressemble !

Courrez et volez à la rencontre de cet enchanteur d’images…

Je vous mets quelques photos “surnaturelles” !

C’est beau, je ne trouve pas les mots…

Des magiciens photographes, j’en connais !

Si vous preniez le temps d’aller en haut à gauche, et d’ouvrir la porte des Liens de mes Amis…

*

Vous pourriez rendre visite à Patrick, ce routard de l’image et poète aussi, quel talent…

Et puis Deux mains dix doigts, qui vous fera découvrir un Paris que vous n’imaginiez pas…

Et puis Lynédice et sa Bretagne,

Marcus avec son Ile de Ré !

et puis la plus jeune, aux multiples blogs…

Un talent en devenir, non !

Déjà confirmé, je vous le jure…

Anne-laure, ma petite chouchoute mais chut…

Se balader dans ses rêves, s’attacher à son instinct, ne rien prévoir et laisser faire son destin, c’est ma ligne de vie…

Ma ligne de coeur, elle seule sait m’emporter, me faire devenir meilleure, me pousser à tous les vents, même les contraires !

Vivez fort !


Casse tête

LEGERETE 16 Comments »

Parce que chaque jour est un autre jour

Je reviens de loin parce que la force n’a pas toujours  été avec moi ces dernières semaines !

Problèmes de réseaux, je ne l’ai compris qu’hier soir puisque pendant une heure, plus de connexion ni téléphone…

Depuis une semaine de gros soucis pour naviguer sur les blogs WordPress, ceux qui n’ont pas d’hébergeurs propres !

Heureusement que le mien à une plateforme sinon je n’aurais même pas pu rentrer chez moi :)

D’ailleurs la technopole  de ma petite ville au bord de l’eau a subit les mêmes lois insidieuses et aléatoires, des jours avec et des jours sans !

Je ne savais plus quoi faire et un échange de mails avec un ami parisien m’a appris que depuis quelques jours les mêmes problèmes étaient survenus chez lui , pourtant pas le même Fournisseur d’accès , il a un Mac et moi un Pc !

L’énigme reste entière puisque seul WordPress ne fonctionnait pas.

Hier je commençais à perdre patience lorsqu’à 21 h le réseaux lâchait ses ouailles :)

De colère, je coupais tout !

N’y tenant plus, et oui je crois que je suis accroc, je rallumais la machine à 21 h 50 et là comme par magie, la lumière fut :)

Vite je me jette sur les blogs des Millions de mots et d’Une fois par moi, ou je peux enfin entrer par les deux portes, ouf je reviens de loin…

Curieux n’est ce pas ?

Il y a comme de la magie dans l’air, toute cette virtualité filaire nous échappe et je sais qu’il n’y aura pas d’explication !

Ou plutôt si, des pannes surement mais nous ne sommes jamais avertis :)

Ce n’est pas grave pour moi, mais pour des sociétés c’est tout autre chose !

Je vais pouvoir reprendre ma petite vie tranquille de blogueuse jusqu’à la prochaine défaillance :)

Autre chose, de votre côté vous avez pu toujours commenter et moi je répondais, je cliquais, je m’énervais mais rien ne se passait…

J’ai essayé avec plusieurs broswers, mais toujours pareil :)

Ha oui j’oubliais, hier dans l’après-midi je suis allée chez ma voisine pour des trucs de filles, problèmes de doubles rideaux :)

Juste avant, j’avais mis des marrons au four et comme j’ai discuté plus d’une heure, lorsque je suis sortie il y avait une drôle d’odeur dans le couloir !

C’était chez moi, une fumée noire, la pyrolise avait pris feu, et le chat à bien failli s’asphixier  !

Il est tout noir comme le chat mon four et la poignée à même fondue :)

J’ai failli voir les pompiers avant le calendrier !

D’un autre côté, j’ai une bonne odeur de feu de bois dans la maison, et je n’ai pas de cheminée, elle est pas belle la vie :)

Direction déchetterie, mais pas tout de suite, presque plus d’essence dans le réservoir de la voiture !

Il y a des jours comme ça ou l’on voudrait que demain soit un autre jour :)

Je reste Mora mora, tout cela n’est pas bien grave même si depuis ce matin j’ai un sacré mal de gorge, mal de tête et mes yeux sont tous  rouges :)

A jeudi pour de nouvelles aventures, je veux dire pour un prochain billet sur l’expo en plein air !


Ex – positions

PARFUM DE COULEURS 19 Comments »

Les chemins nous inventent

Une journée très ensoleillée quelque part en Bretagne…

Des sentiers qui vont nous mener jusqu’au bout du monde, loin là-bas, sur la planète des Ailleurs !


Sans ailes, voyager avec le regard qui se traîne, se laisser déambuler par  l’émotion, la surprise, l’effarement…

Traverser un pays imaginaire couleur d’espérance…


Sur ce paysage,  les reflets des arbres derrière moi

tamisent l’eau du fleuve !


Un peu plus loin, un homme écoute le Chef Seattle pour qui les Mots sont des Etoiles…

Encore des reflets, toujours les arbres mais nous nous sommes rencontrés.

Le village de ces itinérants, gardien d’une liberté qui n’existe plus.

Ce sont des frênes qui s’amusent à faire des ronds dans l’eau, la brise embellit tout !

Et cet Apache sous les sunlight de la lumière Bretonne, c’est un saule qui lui offre cette allure énigmatique…



Je tourne la tête et j’aperçois sur l’autre rive une femme, le regard perdu et qui ne me vois pas.

Le Pérou, déjà !

Elle aurait pu être une héroïne d’Anna Gavalda, espérant que quelqu’un l’attende quelque part…

Je continue, je suis le bord de la rivière avec eux.

Un sous bois avec une drôle de lumière, c’est vrai que nous ne sommes pas loin de Brocéliande !

Mais ici, pas de Merlin pour nous enchanter, c’est une luciole d’Amazonie…

Dans le fond, deux ombres qui dansent, peut-être !

Une voute de lumière de ciel !

Tiens, un ethnologue en plein travail !

Chut, ne le dérangeons pas…

Même pas peur !

Il est beau celui là avec ses tâches, mais son lifting c’est encore le soleil au travers des arbres !

Mais je le trouve très beau…

Encore un explorateur, mais on en découvre des choses dans cette forêt magique…

Voilà un botaniste bien sympathique !

J’espère qu’il n’est pas en train d’effeuiller cette belle plante !


L’enfant  mis en lumière par le photographe ne saura jamais combien de regards se sont posés sur lui…

Peut-être que les bulles magiques qui descendent des nuages lui apporteront un bonheur, une vie meilleure mais qui veille sur lui là-bas ?

Pour celle ci,  j’ai attendu quelques minutes pour que la lumière se pose bien au centre.

Ce sont encore les balancement des  longues ramures d’un saule  qui donne l’effet “bulles” tombant des nuages.

Ex – position

Pourquoi ?

Voilà !

EX, parce qu’elle s’est terminée ce 30 septembre.

POSITION, parce que ces photos de grands artistes sont posées en pleine nature, dans un grand jardin et que la lumière, le vent, la pluie leur donne à chaque fois une autre allure, une aura particuliere.

Comme chez les impressionnistes, la lumière arrive de face, “impressionnant” le paysage ou les photos !

Je me suis bien amusée, et nous n’étions que deux à prendre des photos de photos, moi et un vrai professionnel…

Dans le prochain billet, je vous raconterai d’autres moments de cette ballade pas comme les autres, vous  dévoilant des animaux pris en flagrant délit de mur de verdure.

Et je vous parlerai du lieu aussi…

A très bientôt !


Réveil

JOURNAL 12 Comments »

Il y a quelques minutes, je commençais à  fouiller dans ma blogoliste pour lire, découvrir.

J’ouvre le courrier, celui de l’ordinateur et je clique sur une mise à jour, le nouveau billet de MAHIE qui nous raconte son père, son arrivée en France après la guerre, un des premiers à avoir passé la frontière..

Elle nous le raconte au travers de la musique, espagnole bien sûr…

Je suis émue, et je me souviens de mon père aussi, de ce livre qu’il lisait et qu’il m’avait prêté, un de mes premiers livres de “grande fille”, l’Espagnol de Bernard Clavel.

Tiens, une envie d’aller le chercher, de le relire, de sentir le vieux papier tout jaunie de ce livre de poche.


Et puis un clique sur les actualités parce que je n’ai pas ouvert la télévision aujourd’hui, mais cela m’arrive souvent.

Bernard Clavel est mort…

Curieuses coïncidences.

Peut-être certains d’entre vous sont  “passés à côté” de cette homme qui écrivait et pourtant il nous a offert une oeuvre encore plus large et plus forte que ses épaules.

Je me souviens aussi d’amis ou de collègues !

Tu lis Clavel, et oui bien sûr, hors norme le bonhomme, autodidacte, apprenti pâtissier à 14 ans, journaliste mais surtout conteur.

Je l’ai “suivi” comme l’on dit, de la Grande patience à sa grande saga sur le Royaume du Grand Nord, une histoire à la Jack London !

Humain, humaniste, droit, sincère, je suis persuadée que sa poignée de main devait être franche.

Sur la photo , son épouse, l’Ecrivain Québecoise Josette Pratte.

D’elle je n’ai lu que “Les persiennes” récit d’une femme délaissée par son mari qui va se trouver prise au piège dans leur maison de campagne.

D’une pièce en haut de la maison, derrière les persiennes, elle va observer, écouter, voir son amour avec sa nouvelle amante…

J’espère que ma mémoire ne me fait pas trop défaut ce soir, mais j’ai très envie de relire ce livre aussi…

Je ne suis pas triste, Clavel avait 87 ans..

Je suis nostalgique…

*

Je me réveille avec le départ d’une belle personne, d’un  grand écrivain…

Bonne soirée à tous



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