Catmendoux…

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Le petit chat est mort nous annonce Agnès chez Monsieur Molière et La chatte de Colette tombe de la fenêtre…

Le mien est bien en place, juste à coté de moi se dorlotant le poil, les yeux comme des fentes à cause de la lumière.

Vous en avez parlé Madame, vous les avez aimé, surement cajolé comme un enfant et dans votre maison je nous imagine au soleil, un bestiaire nous entourant…

Des chats et des femmes, des femmes comme des chattes…

Attention aux toits qui leurs brûlent les pattes !

Comme moi, vous savez amadouer le maître amoureux, le rendre dépendant de vos caresses…

Le miaulement du soir pour quelques gourmandises et le tour est joué !

La main baladeuse dans la forêt soyeuse, le souffle doux contre ce petit cou épais qui vibre comme un essaim d’abeilles, prendre le plaisir là où il se trouve, un peu partout, de la tête à la queue !

Je parles de qui, mais d’eux  bien entendu.

Enfin, pas que…

Ode à Colette 2


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