On peut se dire au revoir plusieurs fois

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Hier soir, je terminais ma lecture à la page 40 pour reprendre plus tard.

Je suivais le parcours de cet homme depuis une dizaine d’année, j’appréciais ce qu’il écrivait, cet engouement de la vie qui était sa force…

Il était attachant avec son enthousiasme  communicatif  et bienveillant.

*

Il y a 18 ans, il a refusé de dire au revoir une première fois et il y quelques heures seulement il nous a dit adieu.


Page 40, il disait – Peut être  ne fêterais-je pas mon cinquante et unième anniversaire, mais je suis heureux d’avoir porté des valeurs auxquelles je reste extrêmement attaché…

Je vous encourage dans cette lecture dont j’ai envie de parler, mais je dois finir le livre.

J’ai perdu une cousine et une amie d’une tumeur maligne du cerveau, l’une avait 70 ans et l’autre 58…

En moins de 18 mois après la découverte de la maladie.

David aura vécu 19 ans de plus…

Deux liens pour la découverte, celui du site Phytospiritualité avec l’entretien de David avec M Ricard en juin de cette année

et celui du blog de David.



Les copines

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Du léger dans l’air même si en ce moment il se la joue lourd  de pluie !

Une envie d’écouter de la musique comme on déguste un verre de rosé bien frais, une sorte de plaisir sans prétention…

Ne pas me dire que c’était mieux avant, mais que c’était juste plus reposant.

La vraie brune et la fausse blonde étaient copines pour la photo et la vraie vie.

*

Une époque où les jeunes se posaient moins de questions, l’avenir qui leur était tracé serait sans aucun doute bien plus léger que celui de leurs parents…

Légèreté dans la mode et dans les rêves, insouciance, menthe à l’eau et anciens francs !


Voix douces mais juste pour toutes les deux !

Voix qui ne recherchaient  pas la performance,  des sons feutrés pour partager un parfum d’amitié.


Lorsque l’on est grande dans la tête,  ce sont les talons plats qui font merveille !

Deux jeunes filles dans l’air du temps, simples comme mes copines qui écoutaient  la musique sur leur électrophone.

Presque des jeunes filles comme les autres, enfin presque parce que toutes les filles n’épousent pas des chanteurs !


Des silhouettes de danseuses !

Le petit plus de Françoise, elle sait jouer… Un peu !


Et que font les jeunes filles qui chantent et qui épousent des chanteurs ?

Des bébés chanteurs !

Connaissez vous cette petite rareté  ?

Le duo des *demoiselles,  ” Il y a deux filles en moi”

Tiens, elles me font penser à quelqu’un :)

Une petite photo de l’enregistrement de la chanson

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Mes années petites filles ont été légères, comme si le monde autour de moi n’existait pas…

Et comme Marcel le soir,  j’attendais le baiser doux de ma mère et je m’endormais confiante et sereine avec sur mes joues le parfum frais de la lavande.

Nostalgie heureuse de mon enfance, je fredonne des airs légers comme des plumes, la pluie n’aura pas prise sur mon moral !

*

Belle journée à tous !

*Françoise Hardy et Sylvie Vartan



Je reviens !

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C’est l’angoisse du temps qui passe qui nous fait tant parler du temps qu’il fait !

J P Jeunet, dans le Fabuleux destin d’Amélie Poulain

*

Je ne sais pas si c’est à cause du temps qu’il fait que je n’ai pas vu le temps passer !

18 jours sans billet, cela ne m’est jamais arrivée :)

Demain après-midi, l’interlude sera terminé, je reviens enfin chez moi, chez vous et partout !

Je vous embrasse fort…


A, b, c d’Ailes, le C

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La musique est un cri qui vient de l’intérieur.

Bernard Lavilliers


 

Des milliers de C

Des milliers de mots

Des milliers de battements d’ailes qui se répondent en écho.


*


Des milliers de souvenirs, d’enchevêtrements de sensations, de souffles lourds mais limpides.

Des milliers de moi et de vous, de nous tous !

Le C comme un Choeur,

la Chanson.


*


Celle qui vous attrape, vous couvre de frissons.

Pourquoi Elle, et pourquoi pas une autre ?


Je pense à Elle comme une amoureuse !


La première fois, un soir d’été à prendre le frais dans le jardin.

L’air me surprend !

Il fait le passe-muraille, traverse les murs de pierre.


Quelques indices, la mélodie se grave dans ma tête et je vois Audrey jouant de la guitare…


Et pourtant je ne reconnais pas sa voix…

Pas le temps, parce que mon coeur se serre de plaisir et bondit, voulant sortir de sa cage !

J’ai la peau qui ondule, qui se vague et mon âme s’arrête de respirer…

 

Un oiseau chante et je ne le reconnais pas !

Une force tout en douceur et je frissonne encore et encore…

Mes yeux se mouillent, j’ai un peu froid et je ne maîtrise plus mes émotions…

Qui ?

Elle

Une inconnue vient de s’installer dans ma maison, dans ma vie…

Je reste sur le qui-vive, l’animateur ouvre la porte de mon étonnement, c’était PattyGriffin.

Cela va être et j’espère pour vous aussi !

Cette belle Américaine, aussi rousse qu’Audrey est brune, possède un pouvoir, il ne peut en être autrement…

Elle aussi se joue de la guitare !

Enrico Mancinni, c’est le père de cette chanson,

MOON RIVER, ma chanson, celle du film de Black Edwards, Breakfast at Tiffany’s interprétée en 1961 par Audrey Hepburn.

*

Je suis fidèle, mais depuis ma rencontre avec la voix de Patty Griffin, je suis devenue plus légère que l’eau, plus tendre qu’un Amaretti !


Certains d’entre vous ne connaissent peut-être pas cette version exceptionnelle qui va vous faire, comme à moi, grimper par delà les montagnes et les cieux…


Si je met ici mon petit lecteur personnel, c’est pour vous !

Et si aujourd’hui le temps vous fait défaut, revenez vite pour écouter cette sublime chanson, je compte sur vous…

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Le bonheur est partout si on sait le chercher, l’apprivoiser, l’amadouer et si on ne le laisse pas filer, on est récompensé !


Quelques minutes pour se remplir le coeur d’une légèreté bien méritée, la Chanson a des vertus bien cachées…

Le C comme Cadeaux !

*

Et vous, votre Chanson ?

Je vous souhaite un belle fin de semaine avec de l’amour et des chansons, indissociables prétextes à une vie belle !

Je vous embrasse…



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